Un différend oppose deux copropriétaires de notre copropriété, appelons les A et B.
Notre complexe possède un parking souterrain pour +250 véhicules. Situation qui exige en principe l’existence d’un permis d’environnement classe 1A. Si non il faut fermer le parking, avec un seul accès véhicule, pour … motif de sécurité.
"A" dit en 2004 qu’il faut appliquer la loi, demander un seul permis d’environnement classe 1A pour l'ensemble, en payer les conséquences, mais avoir l’assurance que la sécurité de notre complexe est la responsabilité d’une seule personne: notre ACP, représenté par notre syndic.
"B", étant ingénieur civil, dit en 2006 que notre copropriété doit demander, vu les coûts estimé par lui prohibitif d’un permis d’environnement classe 1A, deux permis classe 1B, en utilisant le truc de scinder fictivement la copropriété en deux.
Tant A et B ont eu le privilège d’avoir pu participer à un briefing, donné quelques mois après l’incendie de l’Innovation, par un des officiers des pompiers sur place : M. Van Gompel. Il était un ancien de leur école et est devenu plus tard le chef des pompiers bruxellois.
Ce que « A » a entre autres retenu de ce briefing très émouvant, mais bien documenté, est qu’il faut une « unité de gestion et de responsabilité » pour un complexe d’installations qui sont étroitement lié.
D’ailleurs cela c’est traduit dans les années 90 dans le « concept d’unité géographique et technique » de l’ordonnance régionale sur les permis d’environnement.
Il est donc plus que logique qu’uniquement UN permis de la classe requise, vu le volume des installations, ne peut être demandé et attribué.
Le fait que ce permis légal proposé par « A » coûte nettement moins que les deux permis proposé par « B » n’ont aucune importance du tout.
La classe d’un permis d’environnement est calculée en fonction de la sécurité, nuisances possibles, … et pas en fonction du coût de la procédure.
La taxation annuelle est déterminé sur base de différents facteurs, mais pas sur base de la classe elle-même.
Ce qui importe seulement est :
- la sécurité des résidents et visiteurs de notre copropriété.
Les anciens savent que notre copropriété a subi une incendie majeure en février 1987 dans le parking souterrain et quelques incendies mineures plus tard, dont le dernier il y a quelques années au 109. Heureusement toujours sans blessés ni morts.
Un petit exemple typique et très concret :
- "Qui a décidé de réduire fortement le nombre des lumières de secours au sous-sol pour épargner de l'électricité il y a quelques années ????"
Voir … le point 13.b de l’ordre de jour de notre AG du 13.03.2008. Et le projet de l'ordre de jour de l'AG 2007, envoyé par l'ancien syndic. Ils sont la conséquence des deux rapports des pompiers très négatif pour certains aspects de la sécurité, suite au deux procédures "permis 1B" de 2006.
- Est-ce que "B" vous a montré une copie de ce rapport ???
- L'avez-vous lu avant que vous avez signé unes des pétitions de "B" ???
- Veut-on vraiment qu'un incendie se reproduise dû à un non suivie des mesures de sécurité.
- Croyez vous vraiment que notre assurance nous couvrira à ce moment dans un contexte d'associations fictifs ???
Espérons qu'il n'y pas de victimes à ce moment. Ni que ces victimes sont des membres de votre famille ...