Depuis la justice a concrètement traitées les plaintes pénales
- formulées par d'ex-mandataires de notre ACP en 2003/2006 (avec le soutien de l’ex-avocat de l’ACP)
- à l’encontre de deux copropriétaires qui voulaient exprimer leur opinion, appuyée par des documents, lors des AG,
Les plaignants (et leurs "assistants" professionels) ne sont plus mandataires de notre ACP depuis 2013 et doivent maintenant en personne faire face aux conséquences de leurs agissements entre 2001 et 2013. Sans pouvoir se cacher derrière qui que ce soit.
En plus les organisations de contrôle des syndics s’adaptent lentement à la réalité de la loi de
2010. Dans ce contexte il est intéressant de lire sur l’autre Blog l’article « De
syndicus van de toekomst (1) ».
Par contre les problèmes techniques de nos parties communes n’ont pas été résolues, mais leur aggravation a été bloquée temporairement jusque fin 2013, pour autant que possible. Une diffusion d’information correcte par qui de droit empêche actuellement d’implémenter la solution définitive.
Ces problèmes peuvent être résolues avec un coût financier raisonnable, si:
- d’une part une diffusion correcte, préalable et impartiale d’information est faite
- et d’autre part l’AG permet une délibération qui tient compte d’un respect sans contraintes de l’opinion de chacun et un respect loyal pour les lois et jugements
Finalement
le texte suivant de l’article « Un jour d’hiver en janvier 2010… » reste entièrement valable :
« ... . Mais surtout à l'effort des copropriétaires, jusqu'à ce moment en réalité pas impliqués effectivement dans le fonctionnement de notre association des copropriétaires.
La nouvelle loi demande moins d'effort avec plus de rendement. ... .»