Mis à jour jusqu’au 11.07.2015 – texte en néerlandais ultérieurement
Dans mon temps
d’étudiant, j’ai entre autres appris la théorie des probabilités.
La théorie
La page « Probabilités
(mathématiques élémentaires) » l’explique au niveau élémentaire. D’autres
pages de Wikipedia vont plus en détail.
Extrait de
cette page :
« Les probabilités est la branche des mathématiques qui calcule la probabilité d'un événement, c'est-à-dire la fréquence d'un événement par rapport à l'ensemble des cas possibles.Cette branche des mathématiques est née des jeux du hasard, plus précisément du désir de prévoir l'imprévisible ou de quantifier l'incertain. Il faut avant tout préciser ce qu'elle n'est pas : elle ne permet pas de prédire le résultat d'une unique expérience. »
Un autre extrait :
« Le calcul des probabilités s'est aussi révélé un outil indispensable dans l'étude et la couverture des risques et est à la base de tous nos systèmes d'assurance. »
L’essence du
problème
Simplifions
et concentrons-nous sur la chance de réussite si un CP veut proposer un point qui
est intrinsèquement légal (= dans l’intérêt général), mais qui va à l’encontre
des intérêts d’un groupe de CP. Souvent il n’arrive pas à convaincre, n’importe
la méthode et l’approche. Pourquoi ?
Que dit la théorie des probabilités ? Elle démontre entre autres que plus de niveaux dépendants interviennent plus la
chance de réussite diminue. Cela ne veut pas dire qu'il ne réussira pas à convaincre ses collègues. Mais il devra d'abord se concentrer sur l'indépendance des différents niveaux.
Si la
chance de réussite en passant par un niveau au sein de la copropriété est 90%,
alors la chance d’obtenir raison est :
- Niveau A 0,9 = 0,9 = 90%
- Niveau B 0,9 * 0,9 = 0,81 = 81%
- Niveau C 0,9 * 0,9 * 0,9 = 0,729 = 73%
- Niveau D 0,9 * 0,9 * 0,9 * 0,9 = 0,6561 = 66 %
- Niveau E 0,9 * 0,9 * 0,9 * 0,9 * 0,9 = 0,59049= 60 %
- Etc …
Donc si la chance
de réussite est par niveau 90%, elle ne sera que globalement 73%, si on doit
passer trois niveaux et 60% si on doit passer par 5 niveaux.
Cela est souvent su et surtout appliqué par un mandataire qui ne défend que ses propres intérêts et pas l’intérêt
général de la copropriété.
D’où l’intérêt
pour la copropriété :
- qu’un mandataire de l’ACP (syndic, commissaire aux comptes, conseil de copropriété, président de séance, …) soit du type « bon père de famille ».
- que les professionnels entre eux emploient des techniques professionnelles de « bon père de famille ».
La pratique
Voir l’article
« La probabilité et la copropriété (2) », qui sera publié dans les jours
qui viennent. Donc seulement après que l’Assemblée Générale Annuelle de 2014 a été effectivement convoquée pour délibérer et voter sur les comptes de 2012 (postposé lors de l’AGA
2013) et 2013 (constat de problèmes comptables de lex-syndic lors de l’AGE 2014).
Une solution
possible
Voir
l’article « La probabilité et la copropriété (3) »,qui sera publié ultérieurement.
La solution qui sera expliquée dans l'article en détail sera réaliste et n’exigera que des changements minimales de la loi, si on veut éviter de longues procédures judiciaires.
- D’un côté elle propose de lier certains dispositions de la loi à des sanctions d’ordre public
- Mais d’un autre côté de restaurer la fonction commune des professionnels de la copropriété (syndic, avocat, architecte, comptable, …): la médiation.
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