Cette divison ne peut se réaliser que si tous, mais vraiment tous les copropriétaires, l'acceptent. Et que si ceux de Buckingham sont aussi à 100% d'accord. Donc plus que 1000 personnes. Je ne crois pas que c'est réalisable, puisque la valeur de notre copropriété en souffrira.
Il est donc nécessaire qu'un appel est déposé au Conseil d'Etat pour essayer d'annuler les permis. C'est le seul organisme administratif qui a la compétence explicite à vérifier la correspondance entre une déclaration et la réalité.
Le Conseil d'Etat va dans les mois qui viennent examiner dans une procédure contradictoire les décisions des autorités administratives (IBGE, Collège d'Environnement et Gouvernement), les pièces jointes au dossier administratif et déterminer si les procédures administratives ont été correctement suivi en se basant entre autres sur des déclarations vérifiables et documents authentiques.
Si le Conseil d'Etat ne trouve pas de faille importante, alors les deux permis classe 1B restent valables. Une situation précaire s'instaurera pour une période de 30 ans, avec toutes les conséquences financières, civiles et/ou pénales pour
- notre association de copropriétaires
- tous les 260 copropriétaires en général
- les 14 copropriétaires appelants en particulier
- last but not least notre ex-syndic qui est était depuis +20 ans un copropriétaire et qui est resté un de nos 260 copropriétaires selon le décompte 2007 qu'on vient de recevoir.
Si le Conseil d'Etat annule les deux permis alors notre association de copropriétaires pourra s'atteler finalement à sa tâche légale et réelle: la bonne gestion de notre association et la conservation des parties communes de notre copropriété.
Telle que je l'ai demandé de fait avec ma lettre du 30.03.2001. C'est avec l'interdiction de lire cette lettre à l'AG 2001 et d'en délibérer que tout à commencé.
Relisez cette lettre et celle d'un autre copropriétaire jointe au PV de l'AG 1998 qui en fait m'a réveillé et inspiré ...